Le Réseau des Donneries Nomades installe son magasin éphémère et gratuit au Centre IFAPME et vous y attend avec de nombreux articles diversifiés.
Vous y trouverez :
Tous les bénéfices de la journée seront versés à LA DONNERIE DU CENTRE.
Objectifs de cette journée
𝗨𝗻𝗲 𝗱𝗼𝗻𝗻𝗲𝗿𝗶𝗲, 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗧𝗢𝗨𝗧 𝗟𝗘 𝗠𝗢𝗡𝗗𝗘 !
Que vous ayez ou non des moyens, il faut que nous soyons de plus en plus nombreux.ses à refuser de contribuer au saccage de nos matières
premières et de succomber aux tentations d’un système qui nous pousse, encore et encore, à consommer.
Il y a beaucoup de choses à donner. Rappelons une règle de base : l’événement est engagé et solidaire. Il n’est pas question d’y prendre des choses pour les revendre de votre côté !
Comment répondre à la crise de la reproduction sociale, rendue d’autant plus visible par la crise sanitaire du covid-19 ? Quels sont les enjeux d’un salaire au travail gratuit ? Cette étude propose une lecture critique et féministe de deux revendications, l’allocation universelle et le salaire à vie, afin d’en délimiter la pertinence pour répondre à la crise de la reproduction sociale. Pour ce faire, il s’agira ici d’opérer des détours historiques en ravivant, notamment, les débats autour de la campagne pour un salaire au travail ménager dans les années 1970, afin de mesurer, à la lumière de ces luttes, les antagonismes contemporains autour du travail gratuit. Il sera alors possible de déployer de nouvelles stratégies autant que de penser les ambivalences fondamentales dont ces deux revendications sont traversées.
À entendre les partis francophones, demain, toutes les associations qui se démènent pour limiter la casse sociale seront correctement financées, les bénéfices engendrés par la numérisation renfloueront les caisses des services publics, ce sera beau, ce sera bon, on sera bien.
Mais soyons de bon compte : entre ce qu’on entend et ce qu’on constate, il y a bien des fossés que l’associatif et des citoyens et citoyennes dénoncent et tentent de combler comme iels peuvent.
C’est pourquoi cette année nous remettons le couvert. Cette fois, c’est la voix de nos publics que nous allons faire entendre. Ils vont nous montrer la facture numérique qu’ils payent au quotidien : ce que ça leur coûte financièrement, ce que ça leur coûte physiquement, socialement, psychologiquement, culturellement. Et ensemble, nous réclamerons à tous les niveaux de pouvoir une réponse à la question suivante : comment la plus-value générée par le numérique est-elle effectivement utilisée pour réduire ces coûts ?
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